Participez en publiant votre témoignage

  • Comment êtes-vous tombé dans l’addiction à la pornographie ?
  • En quoi la pornographie est un fardeau, concrètement, pour vous et vos proches. Pourquoi vouloir arrêter ?
  • Vos méthodes pour en sortir, le déroulement  de votre sevrage passé ou en cours.
  • Et cerise sur le gâteau, en quoi stopporn vous aide.

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Ils (elles) ont été ou sont encore porno dépendant(e)s

5 mois de combat contre l’addiction – Bilan : disparition des pensées suicidaires, disparition de l’irritabilité, disparition des angoisses, des relations apaisées avec mes proches (enfants, compagne), une vision positive de l’avenir, la fin des envies de réaliser ses fantasmes via le porno, soit le retour des fantasmes dans la sphère des fantasmes.
Laurent – 5 mois de sevrage au porno et à la masturbation
Aujourd’hui, j’en suis à sept mois d’abstinence, et j’ai encore du travail. Lire quelque chose en rapport avec du porno réveille des pulsions (même les articles la dénonçant) et le nu suffit parfois à me désarçonner. Mais j’ai repoussé beaucoup d’attaques depuis quelque temps et je veux continuer à me battre contre ce fléau qui a bouffé toute mon enfance !
Max – 7 mois d’abstinence de porno
J’ai perdu pied. J’ai cautionné ça, j’en ai regardé, j’en ai échangé. J’ai dit à ma femme que j’avais réussi à me connecter sur des réseaux cachés mais je ne lui ai pas dit que je focalisai sur de la pédopornographie. Et un matin de mars 2011, ça a cogné fort contre ma porte d’entrée… et ma vie a basculée, définitivement, et à jamais.
Lionel – Comment je suis passé du porno à la pédo-pornographie.
J’ai connu ça comme à peu près tout le monde, sur les sites internet, au début je le faisais plusieurs fois par jour, après de moins en moins les envies diminuaient avec le temps, mais je devais regarder des choses de plus en plus étranges… Je me disais « je peux arrêter quand je veux donc je peux continuer ».
Matthieu – Je peux cesser le X quand je veux
J’avais coutume de dire que mon corps était constamment en journée portes ouvertes. Je disais que je n’avais pas de barrières, que j’étais plus libre que n’importe qui le serait jamais, qu’il valait mieux avoir des remords en ayant tout tenté que des regrets en n’ayant rien vécu.
Lena – Elle a été addicte au sexe et à la pornographie.
Si je me crois guéri, le stade suivant est forcément la rechute parce qu’en moi la construction de la dépendance est enracinée. En revanche, tant que je suis en rétablissement, et même s’il peut y avoir des pas en arrière, je ne cesse de progresser vers le mieux. Mieux avec moi-même, mieux dans ma vie, mieux avec les autres. Je ne compte pas les jours de sobriété. Je ne me focalise pas sur un score qui n’a plus de sens pour moi.
Dominique – Le sevrage définitif est-il possible?
Quand tu crois avoir touché le fond tu n’es qu’au plafond d’un abîme encore plus profond.
J’ai eu une copine avec qui le sexe était intense et brisait quelques frontières mais depuis c’est le calme plat les autres étaient plus mesurées.
Si j’ai arrêté le shit et le tabac, je peux battre le porno et ses dérives.
Désiré – Si j’ai arrêté le shit et le tabac, je peux arrêter le porno.
Je me rendais bien compte que le porno nous prenait pour des cons. Les femmes qui bêlent devant une caméra, les faux plombiers qui viennent ramoner la voisine, les amateurs qui ont tout de l’acteur : tout ça est aux hommes ce que le packaging des céréales est aux enfants et Candy Crush aux utilisateurs de smartphones. Je ne voulais pas être de ceux qui sont menés par leur braguette. J’ai tout essayé, le sport, les douches froides, un mot de passe du style “regarderdupornotuedeschatons”. Mais rien n’y faisait.
Florent – Comment j’ai arrêté la masturbation et le porno
Je m’appelle Dexter, j’ai 41 ans, et je suis dépendant, au porno, et à la masturbation… Même aujourd’hui, l’écrire me fait encore tout drôle, et c’est pourtant la vérité. Toute ma vie, cette sale habitude de me faire du bien en tout moment m’a gâché mes journées. Depuis l’âge de 14 ans, et jusqu’à je ne sais quand si je ne me prends pas en main. Jamais une journée sans sexe, jamais une journée sans désir, sans besoin, et impossible de me refréner… Si ça, c’est pas une addiction, je ne sais pas comment l’appeler.
Dexter – Il reprend le contrôle après 27 ans d’esclavage
Au collège et au lycée, tous, et je dis bien tous, les garçons regardent du porno. Je n’en connais pas un seul qui n’en consomme pas moins d’une fois par semaine. Ça mine littéralement la sexualité dès la puberté. Et ça a sûrement du ternir la mienne, même si je n’aime pas du tout y penser !
Je m’intéresse de très près au développement personnel, que je vous conseille fortement, histoire de vous changer les idées et d’apprendre à vous éloigner de cet univers proprement magnétique.
Mose – Pornographie : à 16 ans, je passe à autre chose.
Mon sevrage « partiel » suit son cours depuis 35 jours. Il est partiel parce qu’après avoir fait plusieurs sevrages, après avoir tenté une multitude de méthodes pour arrêter, j’ai accumulé les « échecs », les rechutes. Je tente donc mon approche avec un sevrage, plus long mais qui porte actuellement ses fruits. Je tente dans un premier temps d’effacer mon addiction à la masturbation, sans pour autant rayer le porno. Le sevrage total viendra plus tard.
Jacky Choun – Parcours classique, sevrage à la masturbation original
Cela a donc commencé il y a 17 ans. J’ai visionné du porno à une fréquence variable pouvant être quotidienne, je regardais du porno gay essentiellement, recherchant une identité masculine. Comme je ne regardais que peu de porno hétéro, j’avais le sentiment de ne pas atteindre la dignité de ma femme, de ne pas vraiment la tromper. J’étais toujours à la recherche de ma fêlure personnelle, comme si ce genres d’images pouvaient m’aider à la comprendre.
Burrhus – Ancien acteur porno gay et prostitué : ses luttes
Mes temps libres, je les ai passés sur les sites pornos jusqu’à 35 ans, âge où j’ai rencontré ma femme. Le pire, c’est que, trop timide et peu sûr de mois, je n’osais pas aborder une fille et donc j’éliminais mes pulsions en me masturbant sur des sites pornos. En plus, je buvais des quantités non négligeables d’alcool… J’ai donc gaspillé près de vingt années de ma vie au lieu de construire une histoire avec une femme. Ça, c’est ce qui m’est le plus difficile à supporter.
Jack – 20 ans gâchés par le porno

Témoignages de codépendants

Des conjoints en parlent

Lire à ce sujet tous les commentaires de la page dédiée aux conjointes.

Déjà il y a un an, c’était des vidéos pornos de plus en plus choquantes, et des SMS de certaines libertines de son entourage avec qui il entretenait une belle galerie de photos que j’ai trouvée dans son portable en cherchant des réponses à mes questions ! À chaque fois c’est pareil, il me dit qu’il m’aime et qu’il ne fait pas de mal !
Amanda – Mon compagnon est un porno addict !
Le souci, c’est que depuis le début, il ne peut pas jouir grâce à moi, il doit obligatoirement se faire jouir seul. J’ai pris cette habitude qui me fait quelques fois un peu mal, car on se remet toujours en question, ces mêmes questions que toutes les femmes se posent, c’est de ma faute, je suis pas assez bonne et ceci et cela… J’ai remarqué qu’il ne me regardait pas dans ces moments.
Laura – Lors de nos rapports sexuels il jouit uniquement en se masturbant
Je n’étais pas jalouse, je me posais rarement des questions et puis je me suis retrouvée prise dans une spirale de jalousie sans le vouloir.
Je me souviens d’avoir passé des journées entières à l’aider à trier ses affaires, à ranger, à se reposer, à lui laisser le temps de réfléchir quand il n’allait pas bien, a lui proposer des milliers de projets.Un an après, nous sommes en train de nous séparer.
Océane – En train de se séparer à cause de l’addiction
J’ai très tôt su que mon mari avait un problème avec la pornographie (bien avant notre mariage), tout simplement parce qu’il a eu le courage et l’honnêteté de m’en parler. Je ne lui en ai pas voulu parce que j’ai surtout vu à quel point ça le faisait souffrir. Moi qui n’y connaissait rien à tout ça, je l’ai vu au bord des larmes.
Sophie – Elle aide son mari à s’en sortir

Quand les parents sont dépendants

Je voudrais témoigner de la dépendance bizarre de mon “père” au porno. Il avait un livre de porno avec… des vampires. Comme j’étais une petite gamine curieuse (comme beaucoup de filles), ce sac poubelle dans l’armoire attirait mon attention car ce n’était pas la place d’un sac poubelle. C’est là que j’ai fait la « découverte » de la sexualité. Je n’y comprenais rien et personne ne m’expliquait. Ma mère me disait qu’il allait souvent aux toilettes se masturber. Elle en était vraiment malheureuse.
Aline – Elle découvre la sexualité avec du ‘porno vampire’