La pornodépendance tue
Ou plutôt non, il ne tue pas, mais il y "contribue" : il aurait un fort impact sur notre cerveau.
Ou plutôt non, il ne tue pas, mais il y "contribue" : il aurait un fort impact sur notre cerveau.
Voici l'avis de Benjamin (coach et blogueur sur le thème de la psychologie féminine) à propos de la pornographie.
C'est l'histoire d'un gars qui cherche à arrêter la branlette, le porno. Ce gars n'en peut plus, il voit des trucs qu'il ne veut pas voir. C'est plus fort que lui.
Pour le savoir, pas besoin d'appeler un ami, il suffit de répondre honnêtement à quelques questions.
Petite explication succinte du fonctionnement du cerveau chez les accros à la pornographie.
Sylvain MIMOUN est Gynécologue, Andrologue et Psychosomaticien. Il nous donne son avis sur la pornographie.
il est parfois nécessaire de consulter un spécialiste quand on n’a personne autour de soi pour en parler, quand des événements graves sont à l’origine de l’addiction (attouchements, viols, dépression…), quand l’addiction va trop loin et que l’on pète un plomb.
J'ai trouvé sur jesuisgeek.fr cette pub indienne pour sensibiliser les hommes à l'absurdité de mater dans la rue. À voir !
La culpabilité est un sentiment bien connu du porno dépendant. On peut l'imputer à l'éducation judéo-chrétienne de nos pays occidentaux. Mais je crois plutôt qu'elle est liée à la nature humaine elle-même, elle fait partie de notre inconscient.
Si vous vaquez sur les forums de discussion, vous trouverez souvent en signature des membres, de petites barres horizontales. Ce sont des compteurs. Ces compteurs comptent tout et n'importe quoi. Nombre de jours et d'heures depuis la dernière masturbation, nombre de jours de grossesse, nombre de jour sans carottes, etc. Ce genre de compteur a son utilité au début du sevrage. Mais...