Voici une interview de Rashida Jones, la productrice d’un documentaire sur les jeunes filles qui tournent dans du porno : Hot Girls Wanted. Elle a travaillé sur les coulisses du #teenporn aux US.
La réalité n’est pas aussi rose que l’image que le porno veut bien paraître. On y voit les coulisses d’une industrie de masse qui exploite la naïveté de myriades de minettes de 18 ans.
Ce n’est pas nouveaux. Ce qui est nouveau, en revanche, c’est l’ampleur du phénomène, la rapidité du « je te prends, je te jette » (quelques mois) et les technologies associées. Ce qui est nouveau c’est que c’est en train de devenir un phénomène de société.
Les intermédiaires ne sont pas ceux qui gagnent le plus, en revanche, les filles sont celles qui gagnent le moins et, qui plus est, perdent le plus. Le consommateur est vraiment en position de faire la différence : s’éloigner du porno, fruit d’un capitalisme sans limites et sans scrupules.
Le documentaire est à regarder sur Netflix ou peut aussi se trouver sur le Net
J’ai vue ce documentaire avant hier suite à la lecture de cet article, d’une il était très intéressant car ça permet de ce rendre compte un peu de comment ça ce passe dans le milieu, mais je doit avouer qu’il m’a tellement choqué moi qui ne connaissait pas certaines pratiques présenté dedans (Fellation forcée et tout ce qui suit…) que j’en ai pleuré de me dire que des choses comme ça étaient possible c’est tellement réducteur pour la femme je me suis franchement senti méprisé par l’abruti qui est capable de filmer et avoir de telles pratiques, ainsi que tout ceux qui seraient capable de fantasmer la dessus ou même d’en rire!
Je pense que ce reportage a vraiment changé quelque chose en moi dans le sens ou on voit bien que les filles en question ne sont autres que des pauvres gamines inconsciente en mal d’amour et d’attention, moi qui jusque là m’imaginait plutôt des droguées ou des cinglées complètement hautaines. L’essentiel étant que l’on voit bien dans ce reportage que les filles affichent de grands sourires (forcé) et des rires (de cruche) quand la caméra est braqué sur elles, mais qu’après cela tout s’efface de leur visage pour ne montrer que le dégoût, et elles le disent clairement ! Enfin entendre des actrices dire qu’elles sont dégoûtées par l’homme avec qui elles ont tourné, dire qu’il leur a fait mal, qu’il n’y a rien d’excitant, et j’en passe. Juste ça a retenir de ce reportage serait déjà amplement suffisant ! Mais il y a beaucoup d’autres messages encore pour celui qui ne veux pas se voiler la face…